Le risque avec les romans "intimistes", qui décrivent une jeunesse dans un village, c'est de sombrer dans la niaiserie, de surmultiplier les adjectifs et les formules à effet nostalgique.
Miguel Delibes évite ces écueils et nous décrit la vie d'un village vu à travers les yeux d'un enfant. Le ton est juste, l'écriture assez sobre, et l'humour masque une certaine amertume.
(Je ne vais pad traduire ceci en Espagnol, je n'ai pas la prétention d'expliquer Delibes aux Espagnols. Ce serait comme si l'un d'eux venait nous expliquer Maupassant)
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Este post es únicamente para los francófonos, no voy a tener la desfachatez de explicar Delibes a los hispano-parlantes.
Bonjour,
ResponderEliminarcette photo provient de mon site,
http://www.surleplateau.com/wordpress/2008/05/29/n%C2%B0143-le-chemin/
merci de mettre un lien vers celui-ci www.surleplateau.com ou supprimer la photo.
Merci.
C'est fait. Désolé du dérangement.
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